PAUL VERSION ORIGINALE
TITRE DE LA SECTION
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PAROLES
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Lost in my mind, i come back to the same idea once again:
to be an example. It's presumptuous, though.
But as I turn and turn and turn this around in my head,
I find out who I am,
and I would be just as proud to be the example not to follow,
The most important thing, is to show that you have
more choices, than you think.
So if I could choose, start my life over again, from the start,
But what a choice! So come on..., do it...., do it now !
I'm introducing myself, I'm probably over the first half of my life,
and I feel like I'm being reborn,
that I can choose a lot more than I thought I could.
I haven't decided anything yet, I'm terrified,
I'm afraid because I know that nothing is ever easy,
nothing...nothing is given for free,
I'm just going to follow a path that's already been charted,
a road of which I know neither the duration, you know,
nor the difficulties
So if I could choose, start my life over again, from the start,
But what a choice! So come on..., do it...., do it now !
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So if I could choose, start my life over again, from the start,
But what a choice! So come on..., do it...., do it now !
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En quelques mots : Cette nouvelle composition représente à elle seule
le changement de cap dans ma vie ces trois dernières années :
Abandonner le métier de paysan, me remettre à la musique avec une ambition
professionnelle, devenir chanteur, former un groupe...Avec du recul,
je crois que je n'ai pas beaucoup réfléchi pour composer : Les paroles sont
venues naturellement et le refrain avait besoin d'être balancé pour
me conforter dans mes choix nouveaux. Les couleurs particulières de ce morceau
viennent sûrement de mes multiples influences (Queen, Police, pink Floyd, Supertramp)
mais aussi de l'implication de mes musiciens qui ont mis beaucoup du leur dans ce premier single.
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En ces temps où chacun découvre ses dépendances
mesure pour demain toute la cohérence
de ses choix du passé, de sa vie à crédit
comme des mala dies qu'on ne guéri jamais
Toi le survivaliste, et toi le passionné,
qui met tez sur vos listes vos centres d'intérêts
êtes-vous donc en proie en quelques occasions
à ref user le poids de cet te inclinaison
Je préfère me taire et, ne rien laisser sortir,
L'effort de ne rien faire est bien plus rassurant
face à l'angoisse, la peur, ne pas les voir venir
de perdre tout l'espoir qui me pousse en avant
On me diraient sensible, mais j'accepte à moitié,
Cette incompréhen sible dissert' à médit er,
naît, vis, vieilli, meurt et, ne te retourne pas
car sans bruit, dans la peur, disparaît, oublies-toi
Est-ce nos diri geants ou bien notre inconscient
qui cherchez sans nos grés à nous normaliser
nous compter, nous soustraire, nous pourcentagifier
l'excuse : l'égalité. A la fin se faire traire
"déposez vos cerveaux mes chers petits agneaux''
nous sommes tellement nombreux, que mon effort ne vaut
agir ou ne rien faire, capable, mais de si peu
je demande à ma mère, mais les temps vaniteux
comme d'autres l'ont épuisé, chacun doit faire sa part
de mon regard certain : La sienne ? Démesurée !
Tout ce monde est comme une grosse pelote de laine
longtemps j'avais cher ché à en voir le bout
sans veine et sans un sou, deu x aiguilles s'étreignent
un ballet dérou lé, remonte au ras du cou
Et oui, ce monde pourrait, au lieu d'être nos geôles,
être ce pull de laine, et prendre un autre rôle,
Un manteau qui rassemble et nous réchauffe le coeur,
pour ceux qui se ressemblent, et cherchent le bonheur
L'homme n'est pas fait pour, être à ce point si seul,
et doit ou vrir sa gueule, faire sonner les tambours,
derrière nous la misère et la médiocratie,
les derniers et dernières, toute aut re anesthésie.
Le réveil à sonné, pas celui du boulot ,
il faut se réveiller, vive les anormaux !
enfin se regar der à nos justes valeurs,
non celle de la monnai e mais avec nos grands coeurs,
Arnaqueurs, serviteurs, électeurs, spectateurs,
Fini ! Tous frères et soeurs, et chacun est acteur
de sa vie et de celle, de ses proches qu'il veille
délaissons le sommeil, devise universelle
a chacun son trésor, talents à partager la
l'impression d'exister, alors que j'étais mort
lâcher mes boulets je l'avais pas cru possible,
pleurer sans s'arrêter, se détendre, et puis rire,
passible de guérir, enfin pouvoir sourire,
après notre réveil, fin prêt notre avenir
s'écrira jour après jour et rire après rire
imitant le soleil mais sans le conquérir
Je reviens doucement dans ma réalité,
rien ne reste, juste l'idée, et la peur simplement
de pouvoir retomber, avec moins d'espoir,
dans l'ancien exutoire pour se laisser guider
a d'aucun ne survit, l'envie de tout changer,
s'il garde son idée et tout e liturgie
pour lui sans partager, elle se fane et s’éteint
une éventualité disparaît pour demain
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En quelques mots : A l'origine, cette chanson est, vous l'aurez deviné, un poeme ;
un texte que j'ai écrit fin 2020, en me demandant à quoi pouvaient bien servir
mes efforts, ma motivation, pour assumer mes convictions,
et pour changer le monde à mon petit niveau..."Et ne rien faire, ça donnerait quoi ?"